Et dire que même après presque cent ans, on a encore des trucs à se dire [pv Emmet ]

Rosalie Hale-Cullen attendait patiement dans le jolie fauteuil de l'entrée du manoir des Cullen. Elle attendait qu'Emmet revienne de la chasse avec Jasper et Edward. Ils étaient partis il y a deux jours mais les filles ne les avaient pas accompagner puisque qu'il fallair surveiller Bella. Enfin, d'après les dire d'Alice et Esmée car il était hors de question que Rolsalie aide Bella en quoi que se soit. Elles ne s'aimaient pas point final ! Et les autres membres du clan dont Carliste qui voulait à tout prit que Rosalie parle avec Bella et puis quoi encore ! Hors de question ! Même après cent ans, Rosalie était toujours très orgeuilleuse et très têtue. Elle en voulait surtout à son frère de faire cela à leur famille. Mais tant pis il fallait faire comme si ce n'était pas grave et passer à autre chose et pour cela, quoi de mieux qu'un moment en tête à tête avec Emmet, le vampire de sa vie. Un moment à deux comme ils n'en avaient pas eu depuis plus d'une semaine. Dur dur ! Trop long, il fallait remédier à cela. Elle attendit donc qu'ils rentrent

J'étais allé chassé avec mes frères, pas vraiment par besoin, mais plus pour Edward. Eh oui le petit Eddy avait flashé sur une humaine ! Mais qu'elle idée. Mais bon mon frère avait toujours été un peu margirnaux, quoique je ne comprenne en rien ses motivations. Il y avait plein de belle vampire à sa portée ... en fait elles étaient carrément à ses pieds, regarder juste Tanya, elle le voulait tellement. Mais cette belle blonde ne fesais rien à Ed'. Je commençais même à douter qu'il fut un homme. Bon c'est sur que cette Isabella Swan était bien divertissente, elle avait un don pour se fourrer dans les pires pétrains. Ça faisait un peu d'action dans notre petite vie morne. Eh puis si il devait cèder et la tuer nous n'aurions qu'a partir. Biensur je devrais supporter le caractère de ma belle qui ne serait surment pas enjouée à quitter Forks, seule ville ou nous pouvions avoir une existance quasi-normal. Chose qu'elle désirait le plus au monde. N'empêche que je supportais mon frère, car je savais, même si je ne serais jamais aussi fou que lui et que je m'éprendrais d'une humaine, qu'il serait là pour moi.

Cette nuit j'avais eu une belle chasse quand même, un ours brun, un cerf et un Grizzly particulièrement irritable. C'était bien drôle puisqu'il n'avait aucune chance contre moi. N'empêche que j'avais voulus jouer le jeux. Je m'étais lentement approché, lui tournant autaur, accélérent, décélérent, à le rendre fou. J'ai bien ris. Je me souviens encore de son grognement épouvanté lorsqu'il s'est rendu compte que je me tenais sur son dos. C'était juste avant que je lui brise la nuque du pouce et de l'index pour ensuite m'abreuver de son sang aux odeurs quelque peu terreuse.

Bien que je m'eusse bien amusée cette nuit, je m'étais ennuyer affreusement de ma douce, je détestais la quitter, bien que je sache qu'elle fusse assée puissante pour se défendre comme une grande fille. J'avais courrus à toute jambes pour retourné à la maison et avais sauté pas la fenêtre de notre chmabre, ou j'avais sentis la présence de ma Rose. Atterissant derrière elle je l'enlaça doucement par la taille, déposant un baiser sur sa joue, la serrant très fort contre moi, lui faisait comprendre qu'elle m'avait manquée.

- Tu m'as manquée mon amour, lui sussurais-je à l'oreille.

Après une petite heure d'attente au salon, Rosalie en avait plus qu'assez de se tenir sur ce petit bout de bois qui lui faisait atrocement mal au psotérieur. Elle s'était donc levée de toute sa grâce pour rejoindre la chambre de son aimé histoire de ne pas être en bas si la petite humaine d'Edward avait décidé d'une visite impromptue. Peu probable mais on était jamais assez prudente. Pas que la mordre lui fasse particulièrement honte ou mal mais Edward risquerai de ne pas apprécier. Alors Rosalie avait préfére s'isoler, encore.

Elle avait donc monté les marches du sompteux manoir des Cullen, elle avait ensuite longé le couloir et atteint la chambre de son aimé qui finissait par être la sienne avec le temps. Si elle gardait une chambre, c'était juste pour ranger ses inombrables vêtements et outils de maquillage. Alice avait même mis les siens avec. " Gain de place " avait-elle dit. Rosalie n'avait pas bronché. Après tout ce qui était à Alice était aussi à elle. Tien en y passant si un jour la petite Swan venait à faire partit des leurs, elle ne lui accorderait pas l'accès à sa penderie bien qu'elle doutait du potentiel fringues et maquillage de la jeune Isabella.

Tout en réfléchissant à cette petite sotte, elle en entendit son amour arrivé majestueusement par la fenêtre et venir se placer derrière elle tout en l'enlaçant par la taille et en lui sussurant qu'elle lui avait manqué. Elle ne put alors que murmurer aussi tout en maintenant fermement les main de son amant autour d'elle

- Toi aussi tu m'as manqué. J'espère au moins que cette partie de chasse a été divertissante ?

Comme j'était content de pouvoir enfin reprendre ma belle amour entre mes bras. Elle m'avait tant manqué dans ce bois. En fait durant la chasse j'avais les esprit un peu ailleur, mais je ne pouvais oublier complètement qu'elle n'était pas à mes côtés. J'huma son odeur floral en plongeant mon nez dans ses cheveux d'or. Soupirant longuement d'aise. Je n'ai aucune idées de ce que je ferais sans ma douce, mais ce me serais probablement insoutenable. Non mais ! Regardez moi ! L'interrieur de ma tête ressemble à celle d'Edward. Je me sens presque romantique ... l'ours que j'ai mangé était-il malade. J'en sais rien, papa disait qu'avec le temps l'amour m'assageait ... mais je ne suis pas sur de vouloir être sage. Je chassa ses pensé sans auncun rapport de ma tête et reconcentra mon attention sur l'être magnifique que je tenais contre moi, bien que « magnifique » fusse loin d'être un calificatif suffisant pour qualifé ma Rose, mais c'est le seul mot connu des hommes qui était à ma portée. Ma chasse ? Amusante, eh bien ... comme toujours.

- C'était bien, mais c'est bien mieu avec toi.

Je pris une mèche de ses cheveux et la tortilla entre mes doigts. Je n'avais pas vraiment envi de relater le réci de ma chasse, chose qui serait presque stupide, ... les humains ne se raccontaient pas leurs manières de manger non ? Mais j'imagine que cette règle ne s'appliquait pas pour nous. Je fis délicatement pivoter entre mes bras la jolie vampire qui était ma femme et continua :

- Je me suis farci un Grizzly très irritée, je suis presque sur qu'il m'a injurié.

Je fis flotter un sourire moquer sur mes lèvres avant de plonger sur les siennes, douce et chaude. Je l'embrassa tendrement, mon bonjour du matin.

- Et toi ? questionnais-je machinalement.

Rosalie se sentait bien dans les bras de son amour. Il la tenait dans ses bras puissants et forts bien qu'elle fusse aussi assez forte. Elle était boen avec lui mais si seulement ils pouvaient être....Non....Mias....Ah cette Isabella qui ne saisait pas sa chance d'être vivante, d'avoir un coeur qui bat. Rosalie aurait tout donner pour qu'Emmet et elle soient humains pour avoir une famille à eux. Mais cela ne servait à rien de se faire du mal puisque cela n'arriverait jamais.

Emmet l'embrassa alors et elle se sentit mieux. Elle réponit à son baiser avant de coller son front contre celui de son amour. Mias que serait-elle sans lui, qu'aurait-elle fait de sa vie vampirique si elle n'avait pas sauver cet homme d'un ours et porté sur son dos jusqu'à chez elle ou Carliste avait transformé Emmet. Il était tellement tout ce qu'elle désirait, tout ce qu'elle attendait d'un homme. Leurs passion brûlante qui les consumaient malrgé qu'ils n'aient pas de coeur battant ou de veines sayantes.

Il lui demandait ce qu'elle avait fait, elle n'allait pas lui avouer avoir ruminé sur cette Isabella de malheur mais il allait tout de suite entendre qu'elle ne disait pas tout. Ils se connaissaient par coeur mais elle pouvait essayer desfois qu'il préfère ne pas lui demander

- Je t'ai attendu, tu sais bien que je ne suis rien sans toi. Même le shopping avec Alice ne m'a pas occupé l'esprit longtemps. Sur ce elle posa la tête sur l'épaule solide de son vampire préféré.

Je sentis, durant mon baiser, qu'elle était un peu ailleur, pas tant que ça, mais une différence se percevait. Je repris un mêche de ses cheveux d'or et me remit à al tortiller entre mes longs doigts, observant son magnifique visage d'une beauté à couper le souffle. Ma femme devait être la plus belle au monde et ce, en toute sincéritée et toutes races confondues. J'aime mon amour plus que tout au monde et jamais je ne laisserais quelque chose lui faire du mal, me l'enlever. Je savais qu'elle enviait les humains, s'automutilant mentelement à rêver de progéniture et de vie normal. Je détestais la voir ainsi et je me maudissais même de ne pas pouvoir lui offrir ce qu'elle désirait le plus au monde, des enfants. Mais jamais je ne lui avouerais que je préfèrerais l'avoir pour l'éternitée que de l'avoir pour 80 ans avec pleins de petits monstre.

Elle me racconta qu'elle m'avait attendue et que même le shopping n'avais pas réussie à la distraire. Ma femme était-elle malade ? Juste le fait qu'Alice se mèle de ta vie ... tu es distret. Mais en plus au centre commercial. Elle me mentait , je le savais, mais je ne voulais pas m'embarquer sur le sujet puisqu'elle était assée irritable c'est temps-ci à cause d'Isabella Swan, fille qu'elle détestait sans connaitre, pour la simple raison qu'elle aimait mon frère et qu'elle était prète à rennoncer à son humanitée, chose horrible pour Rose. Je savais qu'elle l'enviait, sans même vouloir se l'avouer elle-même. Je n'allais pas lui faire entendre raison. J'avais une réputaton à tenir, c'était Edward le Sage ici, pas moi.

- Toi tu ne me dis pas tout, murmurais-je avec un sourire espiègle, mais tu sais , je préfère ne rien savoir.

Je déposa un légé bisous sur le milieu de son crâne

Rosalie le respectait pour cela. Il savait que quelque chose n'allait pas mais il se contentait de le lui faire remarquer sans vouloir en savoir plus. Mais Rosalie n'était pas bête, elle se doutait bien qu'il connaissait la raison puisque toujours la même. L'hummanité, un sujet si vague...Mais Emmet ne disait mot, se contentant de lui sourire et de parler d'éternité à ses côtés. Oui l'éternité, mais l'éternité sans enfant......

Mais il fallait se ressaisir. A Forks, Rosalie et Emmet sont encore au lycée alors ils ne sont pas censés avoir ce genre de problèmes là. Et pourquoi parler de quelque chose qui ne pourra jamais évoué. Mais après tout, pourquoi les vampires n'ont-ils pas le droit de donner la vie au sens propre. Réponse évidente, il y aurait trop de vampires et trop de méchanceté et de crauté. Eux font partis des rares exeptions en matière de vampires.

Rosalie se laissa embrasser le haut du crâne. Elle poussa un soupir inutile puisque fabriqué de toute pièce. Elle releva la tête et regarda son amour dans les yeux. Elle voulait jouer à la fille amoureuse transie aujourd'hui. Elle voulait qu'ils restent à bavasser tous les deux inutilement comme le font Edward et sa petite humaine iresponsable.

- Emmet...Tu veux bien qu'on reste ici tous les deux, bras dans les bras à parler ?
Elle ne savait pas ce qu'allait dire son amour mais elle voulait oublier. Parler de tout et de rien comme au début et comme les...Humains. Histoire de se sentir mieux. Après elle reprendra ses habitudes et son orgueil haut placé qui ne dérangeait pas son époux, cela le faisait rire au contraire.